Les femmes enceintes souhaitent toutes la même chose - des bébés en bonne santé.

Malheureusement, la pollution de l'air est un danger caché qui peut empêcher ces souhaits de se réaliser. Les bébés à naître et les nouveau-nés sont confrontés à de graves risques provenant de niveaux élevés d'exposition à l'air sale, y compris des organes sous-développés, des naissances prématurées, un faible poids à la naissance et même une mortalité infantile (1).

Menaces pour le cerveau en développement

Les polluants les plus dangereux dans l'air sont les particules ultrafines (UFPS), celles qui sont plus petites que 0,1 microns et constituent environ 90% tous les polluants aéroportés. Ils présentent le potentiel de beaucoup de mal au développement du cerveau d'un bébé, car ils peuvent facilement pénétrer dans le cerveau sanguin.

Les nourrissons sont particulièrement vulnérables à la pollution de l'air car (2) (3):

• leurs poumons se développent toujours
• Ils ont des taux de respiration plus rapides que les adultes, ils absorbent donc plus de polluants
• Ils passent du temps près du sol où certains polluants se concentrent
• Ils sont très actifs

Mais la pollution de l'air commence à faire ses dégâts même avant la naissance.

Exposition prénatale à la pollution de l'air

Des études ont montré que les dommages au développement du cerveau d'un bébé à partir de la pollution atmosphérique peuvent commencer dans l'utérus.
Une analyse basée aux Pays-Bas a lié une plus grande exposition à la pollution de l'air pendant la grossesse aux zones sous-développées du cerveau, y compris le noyau accumbens, qui aide à guider les processus de motivation et émotionnels (4) (5).

Une étude de 2022 dirigée par des chercheurs de l'Université de Washington a montré que les femmes enceintes qui étaient exposées à des niveaux plus élevés de dioxyde d'azote (NO2) étaient plus susceptibles de donner naissance aux bébés qui développent des problèmes de comportement (6).

Une autre étude, celle publiée en 2015, a révélé une corrélation similaire entre l'exposition prénatale à la pollution atmosphérique et les problèmes de comportement chez les enfants. (7).

Le niveau d'exposition dans l'utérus aux hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP - un groupe de produits chimiques qui sont les sous-produits du charbon brûlant, de l'essence, des déchets et d'autres sources), moins la matière blanche (fibres nerveuses qui relie différentes régions cérébrales), il y avait dans l'hémisphère gauche d'un cerveau de bébé.

Des quantités plus faibles de matière blanche dans cette région sont liées à des problèmes de comportement.

Une étude à City de New York L'Université de Columbia a constaté que lorsqu'elle est exposée dans l'utérus à des niveaux élevés de HAP, les enfants sont plus susceptibles de souffrir d'une variété de problèmes de santé mentale, notamment la dépression, les difficultés d'attention et le stress accru, qui a été identifié comme un précurseur à d'autres troubles psychiatriques plus graves (8) (9).

Un lien vers le déclin cognitif des enfants

En plus des troubles neurologiques déjà discutés, de nombreuses études ont révélé un impact alarmant de la pollution atmosphérique sur la cognition des enfants.

Les enfants qui avaient des niveaux élevés d'exposition à la pollution atmosphérique dans l'étude des Pays-Bas se sont également révélés avoir des hippocampes sous-développés, qui jouent une fonction clé dans l'apprentissage et la mémoire (10).

Dans l'étude de 2015 sur l'exposition des femmes enceintes aux HAP, le cerveau des bébés a été à nouveau scanné à l'âge de 5 ans. Cette fois, les scientifiques ont découvert une diminution de la substance blanche dans le cortex préfrontal, la zone du cerveau liée à la concentration, au raisonnement, au jugement et à la résolution de problèmes.

The University of Washington study found that children two to four years of age who were exposed to higher levels of PM2.5 (pollution particles that are 2.5 microns in diameter or smaller) than their peers had lower cognitive performances.

Diminuer les risques du développement du cerveau de ralentissement

No matter where you live, there are steps you can take to lessen a baby’s exposure to harmful airborne particles, helping to ensure the baby’s brain development is not impeded.

Limiter ou éliminer les sources intérieures de polluants. Soyez vigilant de la pollution de l'air extérieur qui s'infiltre à l'intérieur, surtout pendant les heures de pointe du matin et du soir. Faible coût moniteurs de qualité de l'air intérieur sont disponibles pour vous aider à suivre la qualité de l'air à l'intérieur de votre résidence.

Surveillez votre extérieur local qualité de l'air Et lorsque les niveaux de particules de pollution sont élevés, fermer les fenêtres et les portes et restreindre les activités de plein air.

L'une des mesures les plus importantes que vous pouvez prendre est d'utiliser un purificateur d'air haute performance. Ceci est particulièrement critique dans la crèche d'un bébé. Il y a purificateurs d'air personnels compacts Disponible cet air propre direct directement dans la zone de respiration d'un bébé.

Le point à emporter

L'exposition à une mauvaise qualité de l'air affecte nos fonctions cérébrales de l'utérus et jusqu'à la vieillesse.

The findings of a recent study hammered that point home when it showed a strong link between childhood air pollution exposure and the early development of Alzheimer’s disease symptoms (11).

La recherche a examiné les autopsies des enfants dans Mexique, l'un des zones métropolitaines les plus polluées du monde.

Compared with control subjects from areas with better air quality, the young people that had been living in Mexico City displayed numerous signs indicating accelerated progression of Alzheimer’s disease including an imbalance in certain genes, neurovascular damage, neuroinflammation, and brain lesions.

The researchers concluded that more attention must be paid to the devastating effects that air pollution creates on the brain development of babies and young people.

The study’s authors called for the prioritization of air pollution policies and regulations, and the targeting of neuroprotective interventions in the early years in a person’s life, especially those who are exposed to high levels of pollutants in the air they breathe.

La pollution de l'air peut être contrôlée. Il en va de même pour les impacts dévastateurs de la pollution atmosphérique sur le développement du cerveau.